Près de 2000 personnes ont défilé pacifiquement ce mercredi 1er mai à Albi à l’appel de la CGT, FSU, Solidaires et Gilets Jaunes, suivi d’un repas-concert organisé par la CGT et la FSU réunissant 280 personnes.

Mais à Paris, les manifestant.es ont été privé de ce droit et ont pu entendre le bruit des bottes…

 

La FSU 81 apporte tout son soutien aux manifestant.es et aux militant.es syndicaux pris pour cible lors de la manifestation parisienne.

Nous dénonçons fermement les violences policières, la répression inouïe et sans discernement, le harcèlement continu par les forces de l’ordre sous les ordres du préfet de police de Paris et du Ministre de l’Intérieur. Le droit de manifester est une nouvelle fois remis en cause dans notre pays, comme ce fut le cas dernièrement à Toulouse !

Ce gouvernement autoritaire orchestre d’une part la violence pour imposer ses décisions antisociales et d’autre part la répression comme stratégie pour mater toute contestation possible. Il ne se prive d’aucun mensonge, comme dernièrement le ministre de l’intérieur concernant la soi-disant « attaque » de l’hôpital Pitié-Salpétrière.

Nous ne nous laisserons pas intimider par les dérives autoritaires de ce gouvernement, dont la fuite en avant témoigne de son isolement, et nous lui répondrons en étant massivement mobilisé.es dès ce jeudi 9 mai !

A lire :

Lettre ouverte au 1er Ministre sur le déroulement du 1er mai à Paris